mardi 24 mai 2011

Les transport aériens des comores

Le prix du billet d'avion est encore trop cher pour retrouver sa famille et ses amis aux Comores,
des millers de ressortissants français vivant en métropole attendent des années ( en moyenne 5 ans ) pour s'acheter un billet d'avion/

Sur internet on peut acheter des billets allant de 1300 à 4300 euros :

" En 2008 j'ai payé 6500 euros pour partir avec ma femme et mes fils"

Pourquoi la compagnie ne baisse pas ces tarifs ?

En 2009, de nombreuses protestations ont été faites pour que les avions soient mieux entretenu, à la suite d'un :

Crash aux Comores: la maintenance pointée du doigt,

Pourquoi l’avion accidenté était-il interdit de séjour en France?
Ainsi la catastrophe ayant frappé la compagnie Yemenia hier aux Comores est le troisième impliquant un Airbus depuis le début de l’année. Au mois de janvier, un Airbus A320 avait été sauvé par son commandant après s’être posé sans dommage dans les eaux glacées de l’Hudson à New York. Un miracle qui n’avait pas fait de victime. Il y a un mois, c’est un Airbus A 330-200 d’Air France qui disparaissait au large des côtes brésiliennes (lire page 2), faisant 228 morts.

C’est à l’escale de Sanaa (Yémen) que les passagers en partance pour Moroni (Comores), parmi lesquels ceux en provenance de Paris et Marseille, ont changé d’appareil pour embarquer sur l’Airbus A 310 qui allait être accidenté. Selon Dominique Bussereau, le secrétaire d’Etat chargé des Transports, cet avion était interdit sur le territoire français et n’avait pas posé ses roues sur un aéroport français depuis 2007 à la suite d’un contrôle du type Safa (lire ci-dessous). «Il y a quelques années, cet avion, nous l’avions exclu du sol national, parce que nous estimions qu’il présentait un certain nombre d’irrégularités dans ses équipements », a-t-il précisé mais le ministère s’est refusé à détailler lesquelles. La compagnie Yemenia Airways est plutôt mal notée dans les différentes listes de classement des compagnies aériennes mais elle n’est toutefois pas interdite en France. Elle avait toutefois échappé de peu à son inscription sur la liste noire des compagnies dangereuses en avril et restait sous la surveillance de la Commission européenne.

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